POSTURE DE CONSULTANT
Kimbowarrior
Bonjour,
je me lance dans le FREELANCE et je n'ai aucun sur mes capacités de travail.
Par contre là où je suis en manque d'information c'est la posture de consultant devant un client.
Notamment un client qui est agressif et qui peut aller au harcèlement : comment gérer ce genre de client quand on est externe ( en interne à la rigueur je gueule ou je me casse ailleurs ) mais en tant que consultant quelle est la position à tenir sachant que j'ai un très grand sens du service mais je suis pas un toutou non plus.
En vous remerciant.
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lshrep
Nombre de posts : 16Nombre de likes : 11Inscrit : 22 juillet 2019Bonjour Kimbowarrior,
Je dirais pour ma part que pour ce genre de client, la posture est surtout de ne pas commencer de relation professionnelle dès le départ. Un client qui peut aller au harcèlement ne mérite pas vraiment votre temps, et ce ne sont pas les missions ni les clients qui manquent. Tout autant que vous devriez savoir être professionnel en tant que consultant, lui en tant que client doit également savoir se tenir et être pro.
Utilisateur suppriméAssez d'accord avec lshrep. En tant que freelance, si l'ambiance n'est pas bonne, il faut se tirer.
Avoir des relations professionnelles, ce n'est pas si compliqué ! 👍
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Hitman
Nombre de posts : 6Nombre de likes : 5Inscrit : 28 juin 2022Bonjour. C'est exactement comme dans la quasi totalité des relations humaines : les gens vont se comporter aussi mal que vous les laissez faire.
L'avantage en tant que Freelance, c'est qu'il n'y a aucune relation de subordination, donc vous avez le droit de dire non pour tout ce qui ne figure pas dans un contrat signé et actif. Vous pouvez aussi partir si la cause est perdue.
N'ayez pas peur de dire "non" pour faire comprendre vos limites dans ce que vous tolérez, et n'ayez pas peur de mettre fin à une mission où l'on refuse de respecter vos limites.
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_Fred_
Nombre de posts : 750Nombre de likes : 321Inscrit : 1 mai 2015Et si le "problème" perdure malgré les conseils précédents, proposez une médiation devant tiers ou devant les RH. Ça les calme en général, et au pire ça aide à trouver une solution.
Kimbowarrior
Nombre de posts : 47Nombre de likes : 18Inscrit : 1 juin 2021super merci pour vos conseils
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Vince Ricosti
Nombre de posts : 107Nombre de likes : 64Inscrit : 17 mars 2009Bonjour,
Tu es confronté au problème ou tu essayes d'anticiper un problème qui pourrait arriver ?Vous êtes indépendant et sous l'emprise du doute, de la solitude ou vous recherchez simplement du soutiens et des conseils de la part d'autres freelances? Venez en discuter notre tchat privé hébergé chez revolt (open-source): https://rvlt.gg/Fg0vhTMXKimbowarrior
Nombre de posts : 47Nombre de likes : 18Inscrit : 1 juin 2021Bonjour,
j'ai été confronté au problème en tant que salarié donc comme je commence en tant que FREELANCE j'aimerais savoir comment on peut gérer.
Merci
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Droopyann
Nombre de posts : 3730Nombre de likes : 1864Inscrit : 21 mai 2018Il me semble que ce type de comportement est plus facile à vivre en tant que consultant. Je m'explique avant que tout le monde hurle 😝
Il est évident que ce type de comportement ne devrait pas exister, mais il se trouve que malheureusement ça existe. Pour un interne, qui peut avoir un attachement fort à l'entreprise, c'est extrêmement minant. J'ai vu de nombreuses personnes très mal vivre avec des responsables ayant ce type de comportement, tiraillé entre le dégoût de travailler pour cette personne et la fidélité à l'entreprise.
A l'inverse, un consultant est par construction moins attaché à l'entreprise. Je ne dis pas qu'il faut être un mercenaire, mais on travaille avant tout pour nous. Si une personne chez le client nous est néfaste, au pire on change de client, c'est souvent plus facile, même si dans certains cas c'est frustrant.
-- Yann EURL IS depuis 2019Utilisateur suppriméTout à fait d'accord.
A l'inverse, un consultant est par construction moins attaché à l'entreprise. Je ne dis pas qu'il faut être un mercenaire, mais on travaille avant tout pour nous. Si une personne chez le client nous est néfaste, au pire on change de client, c'est souvent plus facile, même si dans certains cas c'est frustrant.
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Paul92
Nombre de posts : 1754Nombre de likes : 336Inscrit : 1 avril 2012S'il y a réellement harcèlement ou maltraitance, rien ne vous empêche de partir. Au moins un salarié est couvert en cas de burnout (arrêt maladie, prudhommes ...). Vous vous n'aurez rien, c'est donc à vous de vous protéger avant d'arriver à cette extrémité qui peut être très préjudiciable pour la suite de votre carrière.
En tant qu'indépendant, surtout à partir d'un certain tarif, il y a un certain risque pour qu'on vous place dans des missions assez dures, pour lesquelles on ne mettrait ni interne ni salarié de SSII. On le sait, c'est le jeu. Par contre il ne m'est arrivé qu'une fois de tomber sur un(e) responsable qui me réservait clairement un traitement particulier par rapport à mes collègues. J'ai fait comme si ne m'en apercevais pas ... jusqu'au moment où excédé j'ai fini par lui rentrer dedans. Le ton est un peu monté et en une réflexion elle a fini par se trahir, elle était tout simplement jalouse de mon statut et de mes prétendus revenus mirobolants (même si ça revient à comparer des choux et des carottes). Bref, pas grave, l'important c'est votre entreprise.
Kimbowarrior
Nombre de posts : 47Nombre de likes : 18Inscrit : 1 juin 2021Oui perso ça m'est arrivé quand j'étais consultant dans SSII mais là j'étais jeune et ça me passait au-dessus et comme de toute façon on est pas de l'entreprise on nous ennuie surtout sur le travail à faire. Mais en CDI directement en client interne là j'ai appris que pour faire des -1 ( donc virer du monde ) le manager peut faire exprès d'emmerder son monde pour que les personnes craquent ( et oui en CDI on ne peut pas vous licencier facilement ) : j'ai vu cette pratique tout le long de ma carrière et quand on prend de l'âge ça peut nous arriver ( ce qui m'est arrivé donc ). Et franchement vous avez beau vous protéger ( dire non ... etc.) le plus simple c'est la fuite je vous garantie.
C'est du coup ce qui m'a poussé à me mettre à mon compte.
Merci à vous.
Droopyann
Nombre de posts : 3730Nombre de likes : 1864Inscrit : 21 mai 2018@Kimbowarrior, je vois tout à fait de quoi vous parlez.
Là encore, c'est plus simple en tant que consultant. Trivialement, ça donne :
"Vous ne voulez plus de moi, pas de problèmes, on arrête et je vais chez un autre client".Pour un salarié, c'est plus dur. Et la fuite peut être complexe (selon la volonté de nuisance ou non de l'employeur).
-- Yann EURL IS depuis 2019_Fred_
Nombre de posts : 750Nombre de likes : 321Inscrit : 1 mai 2015Mais... le pouvoir d'emm... d'un salarié peut être très élevé (arrête maladie et autres).
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Kimbowarrior
Nombre de posts : 47Nombre de likes : 18Inscrit : 1 juin 2021perso j'arrive pas à emm... le monde. je veux juste faire ma part comme disait Pierre Rabhi.
Cat13
Nombre de posts : 173Nombre de likes : 44Inscrit : 31 juillet 2019Moi non plus. Cependant, parfois ça peut s'avérer utile, en tant qu'instinct de conservation.
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VincentB_
Nombre de posts : 2445Nombre de likes : 970Inscrit : 11 juillet 2022Bonjour.
J'ai envie de dire que la réponse est dans votre question :
j'ai un très grand sens du service mais je suis pas un toutou non plus.
C'est un peu ça. Il faut trouver la solution de compromis.
Par définition je côtoie des personnes parfois "pas facile". Il faut donc que je trouve "la limite", celle à partir de laquelle je ne laisse plus passer. Ce n'est pas facile à trouver et évidemment il faut que je tienne compte du fait que je peux éventuellement être mis en danger physiquement.
Il n'y a pas vraiment de recette miracle quant à l'emplacement du curseur - on est tous différents, notre capacité de résistance varie en outre avec l'âge, l'enjeu financier peut être plus ou moins supportable, etc. - mais il faut qu'il y en ait un.
Quant à savoir si c'est plus facile en indé ou en salarié : je l'ignore. Dans le 1er cas vous êtes seul maître de la décision mais vous assumez seul le risque. Dans le second vous n'êtes pas maître et c'est frustrant mais vous avez un N+1 qui vous couvre...
Avocat (non, pas celui qui se mange)Cat13
Nombre de posts : 173Nombre de likes : 44Inscrit : 31 juillet 2019Bonjour, je me permets de vous poser une question : quand on est freelance et on se fait agresser par un responsable (disons externe aussi), on ne peut pas être couvert d'aucune manière? Donc la seule solution est de partir ?
VincentB_
Nombre de posts : 2445Nombre de likes : 970Inscrit : 11 juillet 2022Tout dépend de ce que vous appelez être couvert.
En principe si vous estimez ne pas pouvoir poursuivre la mission sereinement il faut le dire au client.
Cette situation, je la rencontre souvent : exemple : j'interviens sur une mission de création de SCI pour un client ; sont également intervenants l'expert comptable du client, la banque qui finance et le Notaire qui va formaliser la vente. Autant de risques de conflits... La plupart du temps on peut diplomater mais parfois pas ; en ce cas je m'en remets à la décision du client, c'est à lui de trancher, pas à nous.
Avocat (non, pas celui qui se mange)Cat13
Nombre de posts : 173Nombre de likes : 44Inscrit : 31 juillet 2019Je voulais dire : on a aucune manière de se défendre légalement ? Est-ce que ça peut servir de remonter le souci à un chef interne (par exemple dans le cas où un responsable externe harcelle systématiquement quand il n'y a pas de personnes presentes)? Je parle d'une situation où il n'y avait rien de ratinnel dans les propos de la personne, juste un désir d'insulter.
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free-work-You
Nombre de posts : 69Nombre de likes : 24Inscrit : 16 septembre 2022Bonsoir,
Je suis tout à fait d’accord avec ce qui a été dit sur le fil de ce sujet.
Il faut travailler votre client « agressif » le plus en amont en favorisant une discussion basée sur les faits. Il faut rester factuel et ferme.
Il faut le faire le plus en amont pour vous éviter de subir une situation difficile dans la durée et surtout vous éviterez une mission sur laquelle la satisfaction du client ne sera pas au rdv.
En fonction de son comportement / attitude, il vous faudra aviser (soit rester avec vos conditions, soit partir si le dialogue est impossible voire stérile)
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Paul92
Nombre de posts : 1754Nombre de likes : 336Inscrit : 1 avril 2012Lorsqu'on est salarié notre pouvoir de "nuisance", ou plutôt nos possibilités de défense, sont bien plus importantes en réalité (prudhommes, arrêts maladie, alerte à la RH ... voir tout simplement abandon de poste).
Simplement nous ne sommes pas formatés pour y avoir recours.
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m.SPSS
Nombre de posts : 78Nombre de likes : 13Inscrit : 9 janvier 2014Bonjour,
Je rejoins ce qui a été dit plus haut.
Quand on est salarié il est important de ne pas se laisser enfermer dans la spirale de harcèlement: garder les preuves (mails...) se faire aider sans attendre, par exemple par les délégués syndicaux. Dans des contextes de harcèlement moral, souvent il y a une culture d'entreprise qui le favorise ou qui le tolère, donc les RH ne servent à rien.. se renseigner sur ses droits auprès d'un avocat spécialiste du droit du travail et ne pas hésiter à aller aux prudhommes. Car une chose est sûre, ça ne peut que s'empirer...
Et quand on est freelance c'est beaucoup plus simple: bye bye!.. ;-)
Paul92
Nombre de posts : 1754Nombre de likes : 336Inscrit : 1 avril 2012Ah oui bien sûr, on va voir les RH pour négocier une rupture conventionnelle.
De toute façon il est inutile d'imaginer que la situation peut s'améliorer en restant au même endroit. En ce moment il y a des missions donc, à moins d'avoir un TJ gargantuesque, pourquoi souffrir inutilement. Il vous est déjà arrivé de regretter d'être parti? A chaque fois les seuls regrets que j'ai eus, c'est de ne pas être passé à l'acte plus tôt.
VincentB_
Nombre de posts : 2445Nombre de likes : 970Inscrit : 11 juillet 2022En ce moment il y a des missions donc, à moins d'avoir un TJ gargantuesque, pourquoi souffrir inutilement. Il vous est déjà arrivé de regretter d'être parti?
Le souci est que le téléphone et le courriel ça existe vous savez. Et si un freelance refuse de se laisser marcher sur les pieds il court le risque d'être catalogué comme un pénible. C'est pareil pour un salarié procédurier. Et n'oubliez pas que le CPH devient une voie bien moins attirante depuis que les DI y sont plafonnés (ce qui est honteux d'ailleurs mais on sort du sujet).
J'insiste : le curseur n'est jamais facile à placer. On ne peut pas être si manichéen.
Avocat (non, pas celui qui se mange) - Utilisateur supprimé
Puisque tu te fais des scénarios en amont, avant qu'ils n'arrivent, pourquoi ne pas les dérouler jusqu'au bout ?
Quel est le risque que cela arrive ?
Tu lui réponds avec autant de violence, le client te sort. Mais tu risques d'avoir une mauvaise image auprès des collègues internes, et de te faire black-lister. C'est grave ou pas ? Il y a deux écoles : moi perso, je préfère éviter de me froisser avec une entreprise cliente.
Tu lui réponds calmement, au pire il va revenir ? Essaie de t'éloigner le plus possible, reste factuel, etc. Et si vraiment il te tape sur les nerfs, tu fais comme ce que tu dis pour l'interne : tu prends tes cliques et tes claques. Au passage, tu es généreux, en interne il y a une grande partie de personnes qui restent, même s'ils sont sur un domaine où ils trouveront facilement.
Puis au pire, quelle est la conséquence si tu ne reviens pas ? Tu ne travailles pas, tu ne factures pas, il ne te paie pas, cela te convient très bien. S'il veut vraiment bosser avec toi, crois-moi qu'un client sait ménager ses grands chevaux.
Bref, la question ne se pose pas encore ; je suis même sévère, je dirai presque de continuer des postes en tant qu'interne ou presta pour continuer à apprendre à gérer ce genre de situation, au moins tu es protégé par un CDI, et tu ne prends pas le risque de te mettre en intercontrat.
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Paul92
Nombre de posts : 1754Nombre de likes : 336Inscrit : 1 avril 2012Je ne vois pas ce qui est manichéen. Le harcèlement engendre un mal être, ainsi qu'une importe perte d'estime de soi. C'est bien plus préjudiciable pour la suite de sa carrière que le prétendu blacklistage que j'ai rarement constaté en pratique.
VincentB_
Nombre de posts : 2445Nombre de likes : 970Inscrit : 11 juillet 2022le prétendu blacklistage que j'ai rarement constaté en pratique.
Mes confrères en droit du travail ont des armoires entières qui vous diraient le contraire, vous savez...
Le harcèlement engendre un mal être, ainsi qu'une importe perte d'estime de soi.
Et est difficile à prouver. Etre victime de tels agissements et se faire bouler au tribunal pour défaut de preuve, ou gagner mais voir ses indemnités ratiboisées à cause du barème c'est destructeur aussi...
Avocat (non, pas celui qui se mange)Paul92
Nombre de posts : 1754Nombre de likes : 336Inscrit : 1 avril 2012Je n'ai jamais pensé à aller aux tribunaux pour ça.
Quand je ne suis pas heureux je m'en vais.
VincentB_
Nombre de posts : 2445Nombre de likes : 970Inscrit : 11 juillet 2022Je n'ai jamais pensé à aller aux tribunaux pour ça.
? Ben c'est à dire que je vous ai lu évoquer le CPH...
Avocat (non, pas celui qui se mange) -
Paul92
Nombre de posts : 1754Nombre de likes : 336Inscrit : 1 avril 2012Après rien ne vous interdit de menacer d'y aller😊.
Je ne suis pas étonné que la preuve soit si compliquée à établir. Surtout qu'il faut pouvoir distinguer si ce sentiment de maltraitance vient vraiment du fait que vous êtes devenu le souffre douleur du service, ou si c'est plutôt le résultat de conditions de travail dégradées dans l'ensemble de l'entreprise (cas le plus courant je suppose).
Il ne m'est arrivé qu'une seule fois d'être réellement la tête de turc de ma responsable. Les sujets pourris c'était pour moi, les refus de congé c'était pour moi, les remarques à la noix quand je devais m'absenter de mon poste 10mns pour passer un coup de fil c'était pour moi (alors qu'elle n'osait rien dire à mes collègues qui faisaient des pauses café 2 fois plus longues) ... J'ai fini par comprendre l'origine du problème, la jalousie, comme souvent. Pas grave, moi les gens jaloux ça me flatte et ça m'amuse, ils sont plus malheureux que nous en réalité. Et puis j'étais bien facturé et quelques mois plus tard c'est elle qui est partie😇.
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Droopyann
Nombre de posts : 3730Nombre de likes : 1864Inscrit : 21 mai 2018Lorsqu'on est salarié notre pouvoir de "nuisance", ou plutôt nos possibilités de défense, sont bien plus importantes en réalité (prudhommes, arrêts maladie, alerte à la RH ... voir tout simplement abandon de poste).
Simplement nous ne sommes pas formatés pour y avoir recours.
@Paul92, c'est vrai ce que vous dites.
Mais je constate que ces moyens prennent du temps et sont psychologiquement dévastateurs. Les preuves à apporter sont parfois difficiles à trouver. Les RHs ne sont pas toujours d'un soutien fou, sans compter quand elles sont de connivences.
On en revient à la précarité du statut d'indep. C'est pour moi une des différences fondamentales avec le salarié. C'est souvent un point négatif mais dans ce type de cas, c'est beaucoup plus facile de quitter la mission, que l'on sait empreinte d'une certaine précarité. En tant que salarié, on ne s'attend pas forcément à partir de l'entreprise. Et c'est souvent ça qui est très mal vécu je pense.
Je complète que les prudhommes sont des procédures relativement longue et que là aussi, il faut être prêt à supporter le temps d'attente.
Enfin, je rejoint à 1000% @VincentB sur la honte du plafonnement des indemnités prudhommales.-- Yann EURL IS depuis 2019Cat13
Nombre de posts : 173Nombre de likes : 44Inscrit : 31 juillet 2019Quand une telle situation arrive, en tant que freelance, on peut negocier l'arrêt de la mission. Il n'y a pas de risque pour son image par contre ? C'est toujours délicat je trouve.
Droopyann
Nombre de posts : 3730Nombre de likes : 1864Inscrit : 21 mai 2018Bien sûr, il y a toujours un risque pour son image. Comme il y a aussi un risque à rester. Il faut trouver le juste milieu, mais se préserver est primordial.
-- Yann EURL IS depuis 2019Cat13
Nombre de posts : 173Nombre de likes : 44Inscrit : 31 juillet 2019@Droopyann : Dans une situation pareille, il y avait une relation tendue avec un reponsable externe, moi j'avais des contacts avec son chef (PDG de l'ESN) et aussi avec son chef interne. A la fin de la mission j'ai fait un apropos très delicat au chef interne qui me connaissait et qui était content de moi (j'ai dit que UN TEL a préféré me remplacer, bien que mon travail a été fait correctement).
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_Fred_
Nombre de posts : 750Nombre de likes : 321Inscrit : 1 mai 2015Les articles de presse pullulent ces derniers temps au sujet du plafonnement qui est considéré contraire à la charte sociale européenne.
Quant aux RH, ils font de la gestion de ressources humaines pour l'entreprise, et sont employés par l'entreprise. Il serait donc surprenant qu'ils prennent parti pour l'employé. Ce serait comme attendre d'un syndicaliste qu'il ait une position neutre. On est dans quel monde... pardon, pays.
Paul92
Nombre de posts : 1754Nombre de likes : 336Inscrit : 1 avril 2012Bien sûr, la RH n'est pas là pour vous conseiller.
Par contre ce type de signalement n'est pas terrible pour le manager concerné.