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michel95

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Réponse postée 28 août 2024 10:11

Bonjour

"J'envisage de me lancer en tant que dev python mais j'ignore si mes économies et mon solde de tout compte me suffiront pour tenir avant de dénicher une mission. "

En principe, on trouve une (ou des) mission(s) avant de se lancer.

Surtout dans le contexte décrit.

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Réponse postée 25 août 2024 15:10

Bonjour,

1) Ce n’est pas mon rayon, mais micro est effectivement intéressant dans ce cas.

Par contre si c’est pour vendre un jour de prestation ou même un peu plus, ouvrir et fermer une structure je ne suis pas persuadé que ce soit la meilleure solution car il y aurait quand même du temps à passer.

De mémoire, il faut l’accord de l’employeur actuel.

Une solution salariée pourrait peut-être être envisagée dans une telle situation pour tester.

Voir avec les spécialistes qui interviennent sur le forum.

2) Ici, il faut distinguer les prestations « longues » des autres.

A priori, Orangina rouge a fourni une méthode de calcul comptable adaptée à des prestations relativement longues, mais, à mon avis, elle ne tient pas compte de nombreux paramètres.

Pour des prestations ponctuelles, c’est très différent.

Si c’est réellement un « domaine niche » avec « A priori 10 Experts en France », à mon avis, toujours pour du ponctuel évidemment, le tarif haut est trop bas et le tarif bas semble beaucoup trop bas. On parle là de tarif facturé au client final en supposant que la société B soit ce client final.

Il faut tenir compte du fait que vendre une prestation d’un jour ce n’est pas seulement passer 7 heures pour réaliser une prestation. Inutile de développer ce point évident.

Ensuite, en termes de tarifs, il faut savoir que pour des prestations ponctuelles, on trouve vraiment n’importe quoi en fonction de chaque contexte spécifique.

Cela ne fait pas partie des questions, mais il y a aussi la possibilité de travailler au forfait si l’on a suffisamment d’expérience. C’est plus intéressant, mais il faut bien maitriser le sujet et il faut surtout verrouiller le contrat, ce qui n’est pas facile si l’on n’a pas l’habitude.

3) Si la mission se poursuit sur plusieurs jours, c’est simple, il suffit de prévoir un tarif dégressif en fonction de la durée.

Attention aux dispositions contractuelles naturellement, dont les clauses de sortie de la mission par les parties.

4) Pour les déplacements, le plus simple, c'est de tout intégrer dans le tarif.

Personnellement, j'intègre aussi les temps de déplacement pour proposer un tarif établi à la louche et il n’y a jamais de détail dans les calculs.

Attention cependant à la non-déductibilité en micro signalée par Droopyann en cas d’intégration des frais dans le tarif journalier, car dans ce cas, il vaut mieux procéder autrement.

5) Pour des déplacements à l'étranger, on ne peut pas annoncer un tarif d’emblée. Cela dépend des pays.

6) Oui, c'est possible et j’ajoute que c’est très intéressant parce que cela permet de développer certaines prestations que l’on peut tester et qui peuvent devenir prépondérantes par la suite.

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Réponse postée 24 août 2024 06:40

Bonjour

"Je ne pense pas et j'espère qu'il n'y aura pas de problème de reglement. Sinon, j'en parlerai au client, qui devrait bien choisir ses fournisseurs.
Je ne crois pas que les intermédiaires risqueraient de perdre leurs clients à cause de ce genre de situation.".

Pour vous faire une idée, relire le forum.

Sur la légalité, il n’y pas besoin d’avoir de grandes connaissances. Demandez-vous pourquoi on vous propose ce type de montage tordu alors que le client et le prestataire sont situés en France.

Si vous envisagez de réaliser quand même cette prestation malgré les mises en garde précédentes, un conseil : Faites-vous payer par acomptes. Si l'intermédiaire refuse, c'est qu'il n'a soit pas les moyens d’assurer financièrement, soit l'intention de vous utiliser comme fusible.

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Réponse postée 19 août 2024 12:51

Bonjour,

Les différents intervenants ont fourni des pistes pertinentes à mon sens.

A mon avis, il faut essayer de reprendre contact avec l’ESN, mais je suppose que cela a été fait sans succès.

1/ Auquel cas, je pense que l’affacturage est effectivement la meilleure solution.

Je n’ai jamais testé, mais d’autres en sont satisfaits à priori. Et si cela ne coute qu’entre 5 à 10 %, il vaut mieux laisser ce pourcentage que l’intégralité de la facture et les soucis qui vont avec.

2/ Sinon, effectivement, il y a l’injonction de payer.

Mais on se prend la tête sans être certain de récupérer la dette.

Si l’on a affaire à des débutants en la matière, cela peut fonctionner, sinon si ce sont des professionnels des impayés cela va être très compliqué.

Dans tous les cas, il serait prudent de quitter la mission et de chercher ailleurs dès à présent. Cependant, si vous souhaitez continuer à travailler pour cette ESN, il me semble impératif de modifier le contrat immédiatement pour prévoir des paiements par acomptes. 

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Réponse postée 1 août 2024 11:19

Bonjour,

Oui, l’idée, c'est bien cela.

Comme mentionné, ce sujet a déjà été abordé à plusieurs reprises sur le forum, il serait donc utile de faire des recherches dans ce sens.

Il ne faut pas oublier qu'il s'agit de l'application du droit, ainsi les réponses ne peuvent pas être binaires ou sans nuances. Il faut donc toujours évaluer le risque.

On peut aussi chercher sur Internet, par exemple sur des blogs juridiques comme 'Village de la Justice' qui traitent de ce sujet. Il semble que le risque de problème soit principalement du côté des cas impliquant des entreprises individuelles, ce qui explique les échanges précédents.

Pour approfondir la recherche, je suggère d'utiliser des expressions comme :

salariat déguisé "réponse ministérielle"

Mais il y en a d’autres, il faut creuser.

Il y a beaucoup de littérature sur le sujet. À ma connaissance, il n'y a pas de jurisprudence concernant les personnes morales, ce qui est plutôt rassurant.

A mon avis, il pourrait y avoir un risque si la personne morale prestataire est en réalité représentée par une seule personne physique qui exécute un travail dans des conditions similaires à celles d'un salarié. Il faudrait rechercher dans la jurisprudence si c’est déjà arrivé et à quel degré de juridiction.

Quoi qu'il en soit, en principe, c'est le commanditaire qui devrait être le plus inquiété.

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Réponse postée 31 juillet 2024 19:27

Bonjour

Oui, et c'est pourquoi la jurisprudence, on la trouve du côté des personnes physiques, ce qui va dans le sens de l'observation de Freelance91.

Forum : IA
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Réponse postée 30 juillet 2024 18:14

Re Bonjour full-remote,

Merci pour les explications.

Pour « la manière dont est construit le site »,

Oui cela semble très clair et j’en suis convaincu, mais il me semble que le post introductif de yanolezard n’avait pas abordé ce point, cela fera un complément utile.

Pour « La qualité de ce qui est sur le site, ça n'est pas de l'ordre du SEO en réalité. Ça, c'est ce que pensent ou vendent des gens qui ne s'y connaissent pas. Ils vendent des formules du type "je vais placer des mots dans un certain ordre et d'une certaine manière, et votre SEO sera impacté".
Faux ! ce qui sera impacté, c'est au mieux la qualité de ce que contient le site, au pire la crédibilité de ceux qui vont le visiter. »

Sans un être un professionnel en la matière, mais uniquement expérimentateur et aussi observateur depuis longtemps de ce que font les concurrents, ce n’est pourtant pas ce que j’observe concrètement.

Je constate en pratique que les éléments suivants impactent le positionnement : la structuration générale d’une page, la position des mots, le champ lexical, sans que la liste soit exhaustive. C’est pourquoi, notamment sur ces points, mais pas que, l’IA est d’une aide significative.

Il est très difficile de se détourner de méthodes qui fonctionnent dans son propre contexte. Par conséquent, on a tendance à être conservateur. 😊

Forum : IA
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Réponse postée 30 juillet 2024 18:11

@droopyann

Les tournures, les mots, même parfois la forme sont très caractéristiques.

Il y a eu quelques tentatives évidentes sur le forum.

Forum : IA
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Réponse postée 30 juillet 2024 16:30

Bonjour,

Une réponse quelque peu à contre-courant de celle de free-fullremote, même si je préfèrerais qu’il ait raison. Je précise que je ne suis pas un spécialiste SEO.

Beaucoup de professions sont déjà touchées de plein fouet comme les rédacteurs web, les traducteurs freelances, et d’autres … Sur un réseau, une traductrice freelance se plaignait d’une baisse de CA de 60% sur une année à cause de l’IA.

Je suppose que tout le monde a entendu parler de l’entreprise qui a réduit de moitié ses équipes chargées de la veille médiatique. Licenciement de 200 personnes de mémoire en 2023.

Malgré la nécessaire personnalisation des articles et la technicité soulignée dans l’intervention précédente, à mon avis, le SEO sera obligatoirement touché et en premier lieu les articles basiques. Car le SEO c’est du traitement de l’information vu qu’il implique un ensemble de techniques visant à améliorer la visibilité d'un site web dans les résultats de recherche naturels des moteurs de recherche. Or, les IA savent bien traiter l’information, et ce qui peut alors inquiéter c’est que les progrès sont très rapides, il suffit de comparer par rapport à un an en arrière.

C’est vrai que l’on détecte l’IA un peu partout, y compris sur le présent site, ce qui est quand même un comble vu qu’il est très facile de reconnaitre la technique de rédaction de certains posts. D’ailleurs Droopyann est devenu un expert en détection des articles rédigés par de l’IA.

A chaud, ce que personnellement j’observe même si cela s’éloigne parfois du SEO.

Certains sites qui ont exploité à 100% l’IA ont connu une ascension rapide puis le soufflet est retombé. Pourtant, Google avait indiqué qu’il ne pénaliserait pas.

Pour le référencement SEO, on peut supposer que l’utilisation s’est généralisée. Ensuite, difficile d’en mesurer l’impact sans disposer de statistiques fiables. Mais outre les optimisations précédemment citées, il est assez facile de générer des introductions, d’améliorer la rédaction et de l’adapter au public, de structurer les documents, et j’en passe.

L’IA permet de produire quand même des pages de qualité quand on sait en appliquer les fondamentaux et moyennant des nombreux tests au début. Par exemple, quand il s’agit d’expliquer, d’extraire ou de synthétiser du contenu, on peut aboutir à des résultats remarquables.

Dans le domaine du raisonnement et de l’interprétation des textes, on arrive également à obtenir des résultats surprenants. Or il existe des domaines avec lesquels ces traitements sont fondamentaux, y compris dans le SEO, et il est plus facile de vérifier que de raisonner ou d’interpréter. Par exemple, sur le forum, de nombreuses questions portent sur l’équilibre des contrats et l’interprétation des clauses, et pour ces tâches, les IA s’en tirent bien.

Les travers de ces outils nécessitent naturellement une vérification finale incontournable du contenu par un spécialiste du sujet. Néanmoins, à mon avis, ces outils empièteront sur beaucoup de métiers vu que cela a déjà commencé.

On peut d’ailleurs constater que certains salariés sont en train de creuser leur tombe en ayant un recours massif à ces outils qui vont pourtant remplacer une bonne partie de leur travail.

Certaines IA sont bien meilleures que d’autres en fonction des tâches assignées.

Pour l’ E-E-A-T, il y a des outils qui fournissent de l’assistance, donc on bénéficie d’une grande aide si l’on n’applique pas systématiquement le concept ou que l’on ne sait pas l’appliquer. 

Pour conclure, personnellement, je ne suis pas un fan de l’IA et l’on est incapable d’en mesurer l’impact. Cependant, d’après ce que j’observe pour les prestations intellectuelles, cela va avoir un impact considérable à divers degrés en fonction des domaines.

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Réponse postée 29 juillet 2024 17:51

Bonjour

Je me permets de réagir au propos de Yanolezard selon lequel nous « … détestons, ou du moins, n'aimons pas plus que cela, c'est bien la prospection commerciale ».

Ce n’est pas du tout évident pour tout le monde, et je ne vais prendre que mon exemple qui n’est évidemment pas représentatif, mais qui n’est pas du tout isolé. On peut prendre plus de plaisir à prospecter qu’à réaliser une prestation, dès lors que l’on obtient un contact, car il faut ensuite essayer de convaincre le client. Et là, c'est très instructif et valorisant, car quand on décroche une affaire, c'est toujours une victoire, donc une satisfaction. Personnellement j’aime la prospection pour sa finalité, par contre et clairement la prospection directe et à froid ce n’est pas du tout mon truc et de toutes manières l’efficacité est décevante.

Pour la petite histoire, en matière de prospection, ce forum était une mine d’or pour qui s’intéressait à cette question fondamentale pour les freelances. Il y avait des dizaines de pages sur le sujet. Ceci, c'était avant ☹ donc quelques années en arrière.

Depuis, la migration du site est passée par là et a oublié la très grande majorité des échanges sur la question, pourtant très intéressants et faisant état d’expériences diverses. Je vois mal les différents intervenants de l’époque de nouveau suer de gouttes pour alimenter un sujet qui a passionné certains d’entre nous et qui a été largement débattu avec beaucoup d’interventions intéressantes, mais il faut faire avec.

Ceci étant rappelé, en matière de prospection commerciale, tout figure sur Internet et les principes, on les connait. Le gros souci, c'est qu’il faut faire le tri dans les méthodes. Cela fonctionne si l’on se donne la peine d’appliquer en testant, sans à priori, les différentes possibilités pour aboutir à ce qui nous convient.

Mon avis est que la majorité des freelances sont confrontés à ce problème souvent sous-estimé lors de nos études trop techniques à mon sens. Or, toujours à mon avis d’observateur, la capacité de prospection conduisant à la conclusion de contrats, est bien plus importante que nos compétences techniques si la finalité est d’augmenter notre activité. Bien entendu, ceci étant dit sous réserve d’un socle minimal de compétences.

Avec le recul, je pense que toutes les solutions fonctionnent, certes plus ou moins bien, et notamment en fonction du canal, du domaine d’activité,  du niveau de la demande, mais aussi de la concurrence.

Ensuite, il faut nécessairement tester. Or, tester le marché avec des profils tels que les nôtres, c'est quand même très simple, même si c’est chronophage au démarrage. Il n’y a pas de miracle, il faut se retrousser les manches et ne pas laisser tomber au premier échec.  

A mon sens, ce qui compte surtout pour vendre nos prestations, c'est la visibilité qui est étroitement liée à la prospection.

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Réponse postée 12 juin 2024 17:32

Bonjour,

Pour information, avec de la pratique, l’analyse des contrats par les IA donne de bons résultats.

Réponse postée 5 avril 2024 21:39

Bonjour

On peut se faire payer par acomptes.

Réponse postée 18 février 2024 15:45

Bonjour,

Bien sûr, cela est envisageable, mais dépend de plusieurs facteurs tels que la durée des prestations, la nature de notre offre de service, sa diversité et l'acceptation du client, entre autres.

Dans le domaine de l'IT, en combinant les métiers avec les différents secteurs d'activité des clients, les possibilités se comptent par centaines pour les freelances. Il faut trouver des créneaux favorables. Donc, tout est envisageable.

Le télétravail est une modalité que je pratique depuis longtemps, même à une époque où Internet n'avait pas la même ampleur qu'aujourd'hui. Ce mode de fonctionnement a été rapidement adopté pour les mêmes raisons que celles partagées par d'autres participants sur le forum.

Au début, cette approche était surtout viable, car j'avais mis de côté le développement, une étape qui, dans ma situation, se révélait être un obstacle à l'époque. Les principales prestations reposaient alors sur des livrables transmis exclusivement en mode asynchrone, une pratique qui perdure encore partiellement aujourd'hui.

A mon avis, avec les outils dont nous disposons actuellement, la plupart des prestations dans le domaine de l'IT, même si elles sont techniques, peuvent être effectuées à distance, en mode synchrone et/ou asynchrone, en fonction de leur nature. Les experts techniques pourront cependant se prononcer sur ce point, mais il est certain que les opinions divergent à ce sujet, comme en témoignent les interventions sur le forum.

Réponse postée 30 septembre 2023 16:10

Bonjour,

"Après comme je l’ai dit plus haut je ne cherche pas à faire carrière ou à devenir expert Java. Je veux juste avoir un niveau suffisant pour trouver un poste me permettant d’avoir un meilleur équilibre vie privée vie perso, de contribuer à un projet, et de gagner convenablement ma vie".

Etant en phase avec cette vision, c’est envisageable en adaptant son offre pour atteindre ces objectifs mais c’est souvent une réelle difficulté avec nos profils techniques. Cela signifie que si l’on campe sur des positions trop rigides quant aux compétences à acquérir cela peut vite devenir compliqué. De nombreux paramètres interviennent à ce stade. Il vaut mieux naviguer dans le sens du marché et à cet effet réaliser de nombreux tests pour détecter les besoins. Les prestations à proposer ne sont pas nécessairement d’un niveau technique excessivement élevé contrairement à ce que l’on pourrait supposer, le principal étant qu’elles répondent à un réel besoin du marché que l’on cible. De plus, une approche commerciale semble incontournable même quand on déteste si, par exemple, on souhaite s’affranchir des intermédiaires.

Et pour la qualité de vie, personnellement je privilégie le télétravail pratiqué depuis longtemps, en mode asynchrone au départ puis combiné par la suite au mode synchrone.

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Réponse postée 25 septembre 2023 09:01

Bonjour,

Personnellement j’observe que cela dépend beaucoup de la durée de la mission.

Les résistances des clients indiquées précédemment se réduisent significativement si l’on arrive à proposer des missions courtes et manifestement gérables en télétravail.

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Réponse postée 5 août 2023 05:22

Bonjour Olivier

Je suis à peu près dans le même cas que toi.

Équivalent de facturation de 100 jours. Cela ne signifie pas grand' chose dans mon cas tout en donnant une idée à peu près réaliste de l'activité.

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Réponse postée 2 juin 2023 11:04

Bonjour,

@freelance91. C’est un sujet qui a déjà été abordé voici quelques mois.

Il semble que beaucoup de pays soient peu regardants sur les aspects fiscaux et sociaux en tout cas pour les freelances pratiquant le télétravail. La raison en est peut-être la difficulté à détecter cette forme de travail.

Quand je voyage à l’étranger la majorité des freelances IT avec lesquels j’ai pu échanger travaillent dans diverses proportions dès lors que leur durée de séjour le justifie. Alors que clairement ils n’en n’ont pas le droit et c’est écrit noir sur blanc. Pourtant ils ne cotisent pas dans le pays d’accueil mais en France.

D'ailleurs, il serait intéressant de savoir si tous les participants à ce forum font preuve d'une discipline exemplaire sur ce point. Se coupent-ils totalement de leurs activités professionnelles lorsqu'ils voyagent plusieurs mois à l'étranger ? Sinon respectent-ils les règles fiscales et sociales du pays de destination ?

Forum : Votre activité
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Réponse postée 14 mai 2023 16:11

Bonjour

Si l’on veut travailler en full remote, sur une mission à rallonge, en mode digital nomade en prime, cela risque d’être compliqué. Déjà le full remote ce n’est pas évident à faire avaler, donc si le client s’aperçoit que le freelance est nomade. Shocking :-)

Comme souvent, tout dépend de la consistance de son offre.

A mon avis, si l’on veut absolument être nomade il est préférable de multiplier, en les cumulant si possible, les missions donc de les raccourcir. Si l’on est prêt à accepter ce mode de fonctionnement, qui peut s’effectuer en mode synchrone et/ou asynchrone, il n’y a quasiment aucun frein de la part des clients. Par contre, il faut aimer, c’est plus difficile à gérer et surtout il faut trouver suffisamment de clients pour assurer le chiffre d’affaires. Si l’on accepte cette orientation cela ne coute rien de tester le marché en amont pour s’assurer de la faisabilité.

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Réponse postée 1 mai 2023 07:24

Bonjour,

Ce type de projet a déjà été évoqué à plusieurs reprises sur le forum et l’idée revient de manière périodique. Dans un premier temps, il serait déjà intéressant de faire une recherche pour demander aux auteurs si l’idée s’est concrétisée, mais de mémoire il me semble qu’ils ont abandonné. Il y avait néanmoins des développements assez longs, donc la consultation des avis serait profitable pour se faire une idée.

Car cela sous-entend de disposer au minimum de deux compétences : 1) Savoir constituer une offre adaptée au marché potentiel 2) Savoir trouver des clients. Chacun de ces points est déjà un chantier lourd à mettre en œuvre à lui tout seul même en ayant recours à des spécialistes.

Si l’on y ajoute la mise en place d’une structure, que ce soit un GIE ou autre forme, à mon avis, on s’oriente vers un montage difficile à faire fonctionner car créer une synergie entre des compétences et des individualités est plus compliqué qu’il n’y parait.

Des structures sur ce modèle existent, mais personnellement je suis sceptique quant à la faisabilité et la viabilité à terme dans un contexte tel que décrit précédemment.  

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Réponse postée 22 février 2023 11:58

Bonjour

Mais mon but avec ce poste était de savoir si le remote était également possible en freelance (je ne parle pas de remote depuis Paris mais depuis une ville moyenne d'où mon estimation de tjm entre 450 et 500)

Mais effectivement je commence à comprendre que le remote est loin d'être la panacée en freelance contrairement en cdi où c'est devenu assez démocratiser.

Evidemment que le remote est également possible en freelance. Il n’y a pas de fatalité. Sans affirmer que le remote est la panacée, le télétravail peut très bien fonctionner à notre avantage. C’est indépendant du lieu de travail et il n’y a pas de différence entre Paris et la province, en tout cas en ce qui me concerne vu que je ne différencie pas.

Mais il vaut mieux dans ce cas diversifier sa clientèle pour rester totalement indépendant des clients. Ceci implique également que les compétences techniques ne suffisent plus et il faut avoir une démarche commerciale qui permette d’atteindre ses objectifs. C’est compliqué à mettre en œuvre évidemment mais gérable avec beaucoup de travail en amont. De plus les tarifs peuvent alors être sensiblement différents selon les clients et les prestations proposées.

Forum : Votre activité
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Réponse postée 11 février 2023 08:55

Bonjour,

Trouver d'autres clients qui ont le même problème

Oui, le problème étant essentiellement lié ici à la détection des besoins puis à prospection commerciale.

Demander au client s'ils sont prêts à payer et dans l’idéal s'ils sont prêts a "précommander" […] mais cette fois-ci, je n’écrirai pas une seule ligne de code avant que j'aille une confirmation ou un engagement du client.

Je ne pense pas que ce soit une bonne idée. Sans avoir une idée précise du projet, il vaut mieux avoir quelque chose de concret à présenter pour convaincre les prospects. Il est peu probable que l’on puisse décoller avec un service qui n’est pas un minimum opérationnel.

Comme le projet n’en est qu’à son balbutiement, il faut d’abord vérifier s’il existe un marché sur ce type de services. A l’échelle d’un indépendant une étude de marché est relativement hors de portée. Il faut donc se débrouiller avec les moyens du bord.

Une idée de plan d’action très classique pour ce type de projet (en résumé) :

- monter un site Internet et/ou blog sur la thématique, de manière à être connu et reconnu (Je ne parle pas d’un site vitrine de 20 pages évidemment),

- analyser l’audience, en déduire la demande potentielle et surtout développer une communication adaptée vers les services que l’on peut proposer.

C’est chronophage mais c’est un investissement sans risque qui peut assurer un développement progressif si le marché existe.

Le véritable problème c’est la prospection, car en ce qui concerne la vente, ce n’est pas un souci. Ici tout le monde saurait plus ou moins bien faire, c’est une question de pratique c’est tout.

Réponse postée 3 février 2023 10:25

@Paul92. Dans mon cas, les gros clients.. Mais comme les prestations sont ponctuelles et souvent au forfait les problèmes de référencement sont inexistants. Par contre il arrive que les paiements trainent en longueur car pour certaines prestations il faut les attendre pour avancer dans la prestation.

Réponse postée 3 février 2023 05:52

Bonjour,

Si l’on s’intéresse à une même prestation de services dont le périmètre a été fixé sur la base d’un nombre de jour estimé :

- Tarif pour une "petite" structure : Trop cher.

- Même tarif pour une grande structure : Trop bas, c’est louche. Il débute ? Bon courage pour être crédible auprès du client s’il pensait avoir affaire à un spécialiste en la matière.

Dans ce dernier cas, quelle est alors la valeur perçue du consultant par le client, si le freelance se retrouve en concurrence avec des ESN ou des cabinets de conseil ?

Ensuite il ne faut pas oublier que la fixation des tarifs est une des caractéristiques fondamentales de notre position de freelance. Nous avons justement cette liberté de fixer des tarifs différenciés y compris par rapport à des catégories de clients.

Et même si ce n’est pas l’objectif principal, un de nos objectifs est aussi d’augmenter notre CA. Non ?

Il y a quelques années Philippe Korda, avait fait une conférence remarquable au salon SME sur le thème de "Vendre et défendre ses marges" qui s’adressait aux freelances. Son livre est bien moins intéressant que la conférence, à mon sens car le contenu est sensiblement différent. Malheureusement elle n’est plus disponible sur Internet. Mais même si son objet n’était pas le thème central de la présente question, elle fournissait des clés essentielles pour vendre nos prestations notamment pour la fixation de nos tarifs et la négociation. @Droopyann. Si on avait posé la question initiale à Philippe Korda ("Mais j'ai aussi du mal à comprendre pourquoi à durée équivalente, vous faites des prix très différents selon la taille du client ?") je n’ai aucun doute sur sa réponse.

 

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Réponse postée 2 février 2023 18:55

Bonjour,

Le principe dans la prestation est de vendre une partie de son temps, temps qui sera passé à apporter une valeur ajouté associée à des compétences particulières. Peu importe le client, le modèle économique repose en grande partie sur le temps passé : On parle bien d'un tarif journalier.

Tout le monde ne travaille forcément en régie même s’il est possible que ce soit le cas de la majorité des freelances de ce forum.

Pourquoi ce tarif serait différent d'un client à l'autre ?

Notamment parce que d’autres paramètres entrent en ligne de compte. Dans mon cas, pour des prestations au forfait de durée estimée équivalente, les montants peuvent être très différents selon la taille du client.   

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Réponse postée 19 janvier 2023 06:07

Bonjour,

Pour un coût financier disproportionné par rapport au gain escompté. C'est d'ailleurs généralement la même chose en France. Et si l'on ajoute les possibilités d'appel on n'a pas fini.

On peut ajouter que le coût n'est pas que financier, car si l'on compte ne serait-ce que le temps à passer cela devient insupportable.

Forum : Votre activité
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Réponse postée 13 janvier 2023 13:08

Bonjour,

A mon avis p0ulp3 a parfaitement résumé la situation qui est simple et relativement binaire à savoir :

[…] donc est-ce que vous prévoyez de travailler gratuitement pendant X années, ou bien avez vous les millions nécessaires pour la pub ?

Pour la première solution, sauf à être très expérimenté en la manière, il faut se préparer à y consacrer quelques milliers d’heures pour monter un système efficace qui tienne la route et ceci sans aucune garantie de résultat. Or, à priori il n’y a pas eu d’étude de marché.

Financièrement la seconde solution est pratiquement hors de portée pour un freelance.

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Réponse postée 10 janvier 2023 15:54

Le principal problème par rapport au sujet d'origine est la capacité à trouver des clients, ce qui n'est pas spécifique à la cyber sécurité. Cela ne se limite pas à "démarcher quelques grosses ESN" ni à afficher son profil sur Malt même si ce sont des pistes à explorer.

Il y a quelques années il y a eu de nombreuses interventions intéressantes sur le sujet de la prospection pour les freelances, mais j'ai l'impression qu'avec la migration du site un certain nombre d'éléments se sont évaporés 🤨

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Réponse postée 10 janvier 2023 14:58

Bonjour,

Droopyann fournit déjà quelques pistes intéressantes.

Je ne connais pas le domaine de la cyber sécurité, mais si l’on se place sur le plan plus général de l’informatique il y a de nombreuses possibilités de s’inscrire dans ce schéma. Le développement du télétravail facilite grandement cette stratégie.

C’est une piste intéressante pour développer son activité, et pour l’avoir poussée à l’extrême, je ne réalise plus que des missions ponctuelles sans intermédiaire. La transition d’un extrême à l’autre est gérable progressivement si l’on s’en donne la peine.

Les principales difficultés, qui sont toutefois surmontables, sont : 1) La capacité à trouver des clients, c’est évidemment le plus difficile et de très loin 2) La capacité à mener de front plusieurs missions.

Le forfait est très intéressant si l’on maitrise bien son sujet mais, à mon avis, nécessite de savoir fixer les termes et le périmètre de ses contrats.

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Réponse postée 9 janvier 2023 16:56

On peut ajouter :

  • la part de télétravail

  • nos contraintes

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Réponse postée 9 janvier 2023 10:10

Bonjour Paul

La pression est plus forte quand on est AMOA, surtout dans les petites structures.

Tu arrives à vendre des missions longues d'AMOA dans de "petites structures" ?

La pression est plus forte quand on est AMOA, surtout dans les petites structures. Déjà parce qu'on est face au donneur d'ordre et qu'on est responsable du planning avec une place de fusible. Ensuite parce qu'on peut être débordé par pas mal d'autres tâches qui pour diverses raisons sont méprisées, voir carrément non prises en compte dans les plannings (assistance à la recette et au développement, run, oublis fonctionnels, demandes d'évolution non tracées, etc) qui vous empêchent de travailler correctement sur ce pour lequel vous avez été recruté.

Donc il peut arriver qu'on se retrouve avec une vraie mission de consultant qui doit tout faire à la fois, alors qu'on n'a qu'un tarif à peine supérieur à celui d'un développeur.

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