Si c'est cadré au niveau de votre contrat de prestations de services, je ne vois pas pourquoi ça poserait un problème. Par contre si vous avez garanti à l'un des clients votre exclusivité, hé bien c'est une (gros) problème.
Je n'ai pas la réponse à cela et la mise en place d'une telle solution dépasse de toute façon de loin mes maigres possibilités. Je sais juste que si je ne suis pas/plus désiré chez mon client, c'est au revoir tout le monde dès la fin de mon contrat. Et bizarrement ça a souvent grincé des dents quand j'ai mis cette politique en pratique. On nous prend souvent pour des salariés, il faut à mon humble avis savoir rappeler notre statut.
désolé de répondre ainsi mais est-ce vraiment dans votre intérêt de travailler dans un environnement qui ne vous "désire" pas ? Pouvez-vous vraiment développer une relation commerciale qui est bien souvent la vraie valeur ajoutée du travail de freelance dans ce contexte ?
C'est la seconde fois que je passe en direct et tout se passe beaucoup mieux. Maintenant il est vrai que je n'ai pas réussi à le faire au début, mon carnet de clients étant trop restreint. Mais c'est un objectif que je vais essayer de garder en tête.
Je fais de l'infogérance et je demande systématiquement un devis pour quasiment chaque opération, sur donc souvent des petites sommes (inférieures à 300€). Cela embête certains de mes clients qui trouvent ça contraignants, ils doivent en effet imprimer le devis, le signer, le scanner et me le renvoyer. Mais comme je travaille avec beaucoup de petites sociétés je dois me protéger au maximum contre les impayés (et je ne souhaite pas d'intermédiaires qui me prennent une marge ou mon carnet de clients)
Comment procédez-vous de votre côté ? Dois-je continuer comme cela ou être plus "coulant" sur ce point ? Est-ce qu'un e-mail retourné avec la mention "bon pour accord" est suffisant ?
chef de projet et architecte fonctionnel : 350€ ou 450€ = mdr. Restez salarié, ça ne vaut pas le coup de basculer indépendant à ce tarif-là, beaucoup trop de risque et pas possible de mettre suffisamment d'argent de côté pour survivre entre deux missions. C'est mon humble avis.
hahaha quelle histoire rocambolesque, s'échiner à chercher des solutions illégales alors que faire appel à un freelance réglerait le problème de la manière la plus simple possible...
raduro19 a écrit :
Gimme dans la vie c'est pas tout noir ou blanc. Et cris par experience tu seras toujours gagnant avec la negociation que le repli sur soi .
C'est bien d'avoir une solution alternative et c'est même ce qui est l'ideal avant de négocier mais les conditions peuvent differer ce qui nen t'empêche pas de négocier.
Cela prendra du temps mais tu peux toujours conclure.
Je vous fais un retour sur mon expérience de freelance. J'ai constaté que négocier sans rien derrière se savait vite et que ça ne menait nulle part. Alors qu'une négociation avec quelque chose derrière vous offre un meilleur retour. Maintenant il se peut que nous n'ayons pas les mêmes expériences, et si vous arrivez à négocier sérieusement sans rien derrière, hé bien c'est une bonne chose pour vous.
raduro19 a écrit : Vous avez tous raison. Si tu regardes un de mes posts cela va faire 10 mois que je suis en process de renego . C'est trés long et usant mais bon faut rien lâcher.
C'est trés complexe en tout cas le contexte où je suis etje continue à tenir bon.
En fait non, c'est extrêmement simple. Si vous négociez avec rien derrière, sans alternative, vous brassez de l'air et ça profite à l'attentisme de l'intermédiaire qui est content de toucher sa marge tous les jours. Donc pour négocier sérieusement, toujours avoir une solution alternative et être prêt à partir. Votre seul levier c'est de quitter la mission, donc si vous n'êtes pas réellement prêt à le faire, vous n'avez en fait rien à négocier.
bjacques-sap a écrit : Je confirme qu'il n'y a pas de problème de TVA dans ce genre de contrat.
Dans mon cas personnel, j'avais un contrat signé avec un broker basé à Londres, pour un client final à Paris et une prestation exécutée à Paris.
J'ai facturé en HT, avec des déclarations de TVA mensuelles créditrices pendant plusieurs mois.
Après quelques mois, au vu des déclarations de TVA, j'ai eu droit à un contrôle fiscal approfondi (vérification des contrats, des factures, et des déclarations de TVA) qui s'est terminé sans aucun problème.
En ce qui concerne le défaut de paiement, c'est effectivement plus compliqué si le débiteur est à l'étranger, j'en ai fait l'expérience.
Personnellement je ne déplace plus depuis bien longtemps sans avancées très concrètes réalisées auparavant. C'est vraiment pour le dernier des derniers entretiens que je me déplace. Et pas l'inverse comme les SSII sont si friandes.
jmolive a écrit : Je comprends qu'il facture le samedi et le dimanche au même tarif ...
Le tarif me semble très juste par rapport au statut de salarié.
Par contre, il faudrait qu'il ouvre son entreprise en Angleterre !
La situation n'est pas évidente et il a beaucoup de pistes à explorer pour faire le bon choix.
Personnellement je facture le double le samedi et le dimanche.
icomp a écrit : Premièrement je ne suis pas en mode freelance mais je passe par une SSII, je croyais que c'était clair dans les discussions, et j'écris dans ce forum car il y a des gens compétents avec de l'expérience qui donnent des vrais conseils.
T'étais salarié de SSII ou indépendant ? Ca fait deux pages de discussions et non, c'est toujours pas clair.
+1, je ne comprends pas. Le fait qu'il y ait une société en intermédiaire ne change pas grand-chose.
Salarié ou freelance ? Si c'est salarié on est dans un cas de figure très différent, si c'est freelance, j'ai déjà exprimé mon opinion.
Je vois depuis quelques temps des annonces de sociétés anglaises qui cherchent des freelances français pour travailler auprès de sociétés françaises. Est-ce sans risque ? Je vois également un problème en cas de non-paiement d'une facture, il me paraît difficile de poursuivre une société étrangère. Qu'en pensez-vous ?
Mais de quoi ces annonces sont-elles représentatives ?
De la baisse des prix offerts par les clients ou de l'envie des intermédiaires d'augmenter leur marge ?
Quand je vois que certains intermédaires n'hésitent pas à marger à 100% sur certains prestataires (et quand je vois une offre pour ingénieur machin senior à 300€, je ne peux m'empêcher de penser qu'il sera revendu au moins 600), j'ai un doute sur l'envie réelle des intermédiaires de faire des affaires.
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