Anthaus
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Réponse postée 23 septembre 2022 08:09
Bonjour à tous,
Je vis actuellement en Île-de-France, où je suis locataire, et j'ai une résidence secondaire dans l'Yonne, dont je suis propriétaire.
Je suis actuellement en EI, et mon EI est domiciliée dans ma résidence principale. J'aimerais la redomicilier dans ma résidence secondaire pour anticiper certaines difficultés:
passage à un statut de société qui m'est recommandé par de plus en plus de clients (et alors la domiciliation deviendrait interdite si j'en crois mon bail),
déménagements futurs qui impliqueraient de redomicilier à chaque fois...
Mais du coup, y a-t-il des inconvénients à me domicilier plus loin qui m'auraient échappés ?
Pour le moment, ce que je vois c'est:
un courrier qui arrivera là-bas (mais je m'y rend très régulièrement, donc ça ne me semble pas trop problématique)
une CFE en moyenne un chouïa plus élevée que dans les Yvelines
de la confusion chez les clients ?
Voilà, si vous voyez des points qui m'auraient échappés, ou si vous avez vous-même domicilié votre entreprise dans une résidence secondaire, je serais ravi d'avoir vos retours.
Merci.
Réponse postée 22 décembre 2021 10:34
Réponse postée 13 décembre 2021 15:36
_ J'ai vu plusieurs fois des freelances racontés ici qu'ils sont en train de faire leur dernière mission avant de partir en retraite.
_ J'ai déjà vu des collègues, salariés de SSII, qui faisaient leur dernière mission avant de prendre leur retraite.
_ Il est apparemment très difficile de se faire embaucher en CDI après un certain âge (j'ai même entendu dire que certaines boîtes ont officieusement un âge plafond pour leurs recrutements).
Ce qui en ressort, c'est qu'un consultant peut trouver des missions jusqu'à la retraite. Par contre, si vous souhaitez retourner en CDI un jour, il vaut mieux ne pas attendre trop longtemps, car passé un certain âge cela devient compliqué. D'ailleurs, les seniors en CDI qui se font licenciés sont souvent amenés à se mettre à leur compte pour pouvoir continuer à bosser.
Ensuite, je pense que la curiosité est indispensable. L'expertise peut être très bien valorisée, mais il faut s'assurer que son sujet d'expertise ne devienne pas désuet.
Je suis également très curieux de lire les retours de freelances plus expérimentés.
Réponse postée 13 décembre 2021 10:12
On n'est pas juste en compétition avec d'autres indépendants, on est en compétition avec des indépendants et des salariés de SSII. Chez ces nouveaux indéps, combien étaient salariés de SSII avant ?da23ad a écrit : Il ne faut pas oublier qu'avec la "crise sanitaire" , les indépendants disponibles/à l'écoute du marché sont beaucoup plus nombreux , et donc la concurrence en est renforcée , ce qui tire en principe les TJM vers le bas et amplifie la nécessité pour un indépendant de sortir du lot....Car être en compétition avec 10 000 indépendants et 50 000 , ce n'est pas pareil. (les chiffres ne sont donnés là qu'à titre illustratif).
S'ils ont changé de type de contrat, mais restent sur le même marché, ça ne change rien en termes de concurrence.
Personnellement, je constate que j'ai reçu énormément de propositions à plus d'un mois et demi de la fin de ma mission. Je crois même que c'est un record pour décembre, alors que je ne me suis même pas mis en recherche active. J'ai l'impression que plutôt qu'une augmentation de la concurrence, y a surtout un rattrapage de tous les projets et investissements gelés à cause de la pandémie (ce qui va dans le sens des chiffres macro-économiques), et donc une sur-offre de projets.
Je constate également deux choses qui étaient à la marge avant, et qui semblent être devenues beaucoup plus naturelles: des offres à l'étranger en full-remote, et des offres qui acceptent à la fois CDI et freelances (mais qui sont quand même un peu relous, parce que les processus de recrutement sont les mêmes que ceux de CDI).
Réponse postée 7 décembre 2021 09:40
L'idée je pense, c'est vraiment d'avoir un complément de revenus. On peut difficilement faire deux missions en parallèle (je sais que certains le font, mais c'est quand même particulier...). Donner des cours ou des formations, ça se fait généralement sur des horaires différents de ceux de la mission à plein temps, et avec un volume horaire également moins important. Donc ça peut s'ajouter.htnfr a écrit : Je ne vois pas de moyen rapide gagner plus qu'une mission à plein temps au taux horaire / journalier, sauf si vous avez un TJM très bas.
Les missions au forfait ou formations nécessitent beaucoup de temps au départ, donc moins intéressant au taux horaire: genre, 1-2 jours de préparation pour 4h de formation à 100€/h ...
Par contre je confirme, pour donner des cours, que la première fois, quand il faut monter le programme, c'est beaucoup de taf. C'est sur le long terme que ça se rentabilise (et apparemment, en plus de l'aspect financier, ça fait pas mal mouche sur le CV).
Réponse postée 1 décembre 2021 13:55
Réponse postée 1 décembre 2021 13:53
Réponse postée 1 décembre 2021 08:52
Avez-vous regardé s'il y a des centres de formation professionnelle qui ont besoin d'intervenants ?
Je reçois régulièrement des demandes pour ce genre de presta (que je refuse parce que je n'ai pas le temps, intervenant déjà en école d'ingé en plus de ma mission), et ça a l'air correct. 80 à 100 € de l'heure, et des slides déjà prêts la plupart du temps.Avec un profil senior, le recrutement devrait se faire assez vite si le besoin existe.
Réponse postée 25 novembre 2021 14:07
Normalement, si le contrat prévoit un paiement à la journée de travail, il n'y a pas de raison de ne pas payer les journées effectuées.
Réponse postée 25 novembre 2021 14:06
Je ne comprends pas ces deux points, en quoi le CDI de chantier offre plus de garanties aux banquiers/proprios qu'un contrat freelance ?Proxima a écrit : possibilité de pret immobilier
possibilité de trouver une location
Réponse postée 22 novembre 2021 10:56
Je viens de voir cette offre apparaître en tête de la liste:
https://www.freelance-info.fr/mission/cdi-uniquement-developpeur-site-web-front-java-php-angular-1647573
Dès le titre, aucun doute n'est possible. Ma question est donc, qu'est-ce qu'elle fout là ?
Pour moi c'est de la pollution. Si un freelance envisage un CDI, il sait très bien que ce n'est pas ici qu'il faut les chercher. Il y a d'ailleurs un bandeau en bas de page qui indique bien "Si vous cherchez un CDI ou CDD, le jobboard Carriere-info est plus adapté. ".
Ce serait bien que freelance-info supprime ce genre d'annonce. Quand il y en a qu'une, ce n'est pas bien grave, mais si ça multipliait, ça rendrait le site illisible, et ça fausserait la perception qu'on pourrait avoir du marché freelance.
Réponse postée 17 novembre 2021 08:55
Réponse postée 12 novembre 2021 11:28
Réponse postée 10 novembre 2021 11:13
Pour les ESN, je reste ferme sur ma position, soit c'est freelance, soit c'est sans moi (ce qui se comprend potentiellement par "avec une autre ESN"). En général ça suffit, ils préfèrent placer un freelance que laisser la mission à une entreprise concurrente. Après peut-être que sur des profils plus juniors, ils ont davantage l'espoir de pouvoir prendre quelqu'un en interne, je ne saurai le dire.pour ce qui est de challenger les ESN pour les orienter vers de la freelance, auriez vous une méthode à me conseiller ? Ou même pour avoir de la visibilité chez le client final sans passer par une ESN?
Passer directement chez le client final par contre, si c'est une grosse structure, c'est généralement impossible. Ils ont un service achat, avec des fournisseurs référencés, et il faut donc passer par un de ces fournisseurs. Ce qui peut se tenter par contre, c'est d'essayer de voir sur les différents sites pour freelance (notamment ici), si la même offre est proposée par un autre intermédiaire qui serait plus conciliant.
Après y a le cas des start-up et PME. Le plus souvent, ils recrutent en CDI. Mais je note ces derniers temps, quand ils viennent me contacter pour un poste, qu'ils sont plus ouverts à prendre un freelance à un poste où ils avaient initialement envisagé un CDI. Par contre, là c'est clairement pour des postes qu'ils ont du mal à pourvoir.
Ma mission actuelle, je l'ai trouvée pendant le second confinement, donc je n'étais vraiment pas en position de force, et le TJM est un peu décevant. Par contre, je finis bientôt, j'ai quelques contacts pour une éventuelle future mission, et quand j'annonce mon TJM classique, personne ne s'étouffe, donc je pense que les prix sont à peu près revenus à la normale.pour ce qui est de votre cas, vous avez pu négocier un TJM à hauteur de vos attentes ?
Réponse postée 9 novembre 2021 16:36
La difficulté pour le freelance, c'est de se positionner et de se vendre sur son marché. S'il ne le connaît pas, décrocher une première mission peut s'avérer un peu compliqué, et il n'y aura pas d'argent qui tombe en attendant (l'employé d'ESN peut, de plus, être inclu dans des projets en mode forfait, ce qui lui permet d'ajouter une ligne à son CV s'il n'attire aucun client). Et le temps qui passe peut vraiment créer du doute chez le freelance qui n'a aucun recul.
C'est vraiment pour moi le seul apport qu'une ESN, donner une expérience "encadrée" du marché.
Perso je n'ai fait qu'une seule mission, d'un peu plus d'un an, en ESN, entre l'obtention de mon diplôme (certes doctorat donc comptant, en faisant le forcing, comme expérience) et mon passage en freelance.
Si vous êtes en IDF, oui, sans aucun doute (j'envoie toujours péter les ESN qui me disent qu'elles ne fonctionnent qu'en CDI, la plupart du temps elles acceptent "de faire une exception", on découvre une fois placé qu'elles font en fait beaucoup d'exceptions ^^). Ailleurs je ne sais pas, j'ai cru comprendre que dans certaines zones moins concurrentielles, certains gros acteurs imposent leur loi.J'ai publié mon CV sur les plateformes et reçoit un bon nombre d'appels de la part d'autres ESN, mais la plupart disent qu'ils ne fonctionnent qu'en CDI. Pensez-vous qu'il est possible de les challenger à ce niveau ?
Compte-tenu de votre profil, je serais donc tenté de dire oui. Concernant votre situation, il faut surtout voir votre assise financière, combien de temps est-ce que vous pouvez tenir sur vos réserves avant de décrocher une mission ? (sachant que le premier paiement tombera vraisemblablement deux à trois mois après le début de la mission).J'aimerais avoir si possible votre avis sur la question de se lancer en indépendant compte tenu de mon profil et de ma situation.
Réponse postée 19 octobre 2021 11:38
Réponse postée 18 octobre 2021 10:02
Oui, entre 11 000 et 12 000 avant le premier confinement, selon mes souvenirs. On n'est pas encore totalement revenu à ce niveau, mais c'est bien mieux que les points bas (autour de 6 000 ?) qu'on a pu connaître.Droopyann a écrit : Il me semble effectivement que c'est un bon signe, pas vu depuis mars 2020.
En revanche, je crois que le nombre de mission tournait autour de 12000 avant la crise sanitaire. Mais c'est peut-être un mauvais souvenir.
Un autre point que je trouve rassurant, c'est que depuis la rentrée, je reçois un nombre record de contacts pour des missions sans intermédiaire. Des missions pour lesquelles le poste est d'abord pensé en CDI, mais où le client se montre ouvert au freelancing. La moitié de ces missions sont à l'étranger et ouvertes au full-remote.
Réponse postée 13 octobre 2021 15:58
Réponse postée 5 octobre 2021 08:39
Pourquoi ne pas embaucher les consultants en freelance ?
Ainsi, si l'activité se réduit, vous n'aurez pas besoin de taper dans la trésorerie en attendant de leur trouver autre chose.
Ou alors j'ai mal compris ?
Réponse postée 1 octobre 2021 11:13
Je ne pense pas que le problème principal soit ce qu'on peut dire ou non (même si à un certain degré, c'est une partie du problème). On sait qu'il y a des lourds partout, et plus les femmes sont minoritaires dans un milieu, plus elles apprennent à remettre les lourds à leur place.CORDIA a écrit :On y est depuis longtemps.....les femmes, les étrangers, les petits, les gros, les moches.....interdiction d'y toucher, de plaisanterSteph12 a écrit : on va arriver à une situation où on ne pourra plus rien dire...
Je regarde avec nostagie les satires des années 80/90 : Les inconnus, les nuls, Coluche, Le luron, Desproges......
Les questions légitimes qu'une femme peut se poser avant d'entrer dans un milieu professionnel spécifique, c'est plutôt les questions du genre:
_ Est-ce que mon avis sera écouté avec autant de considération que celui d'un collègue masculin ?
_ Est-ce que le fait d'être une femme sera handicapant pour obtenir un poste à responsabilité ?
_ Est-ce que je serai soumise à du chantage ? (passe chez moi ce soir pour discuter de ton augmentation...)
_ Est-ce que je ne risque pas d'être désignée comme bouc émissaire par défaut si les choses se passent mal ?
On est quand même à un niveau de gravité supérieur à celui des réflexions grivoises que peut faire un manager en pré-retraite.
Ce genre de faits existe dans le monde du travail. La question est de savoir: est-ce le cas en informatique ? Mon sentiment, en tant qu'homme, est que ce n'est pas très prégnant. Après, les femmes du milieu sont clairement les mieux placées pour en témoigner.
Réponse postée 30 septembre 2021 12:32
Globalement, à moins que ça ait fortement changé en 10 ans, il y a beaucoup plus de garçons que de filles qui étudient l'informatique, et donc mécaniquement un ratio gros lourd/fille plus important (surtout que certains ne sont mentalement pas encore sortis de l'adolescence).
Je pense que c'est plus dans l'environnement étudiant que professionnel que la question se pose (il y avait notamment eu un scandale de ce genre il y a quelques années avec l'école 42).
Réponse postée 8 septembre 2021 08:03
Merci d'apprendre les règles de base du respect et de la courtoisie, ou bien de retourner sur le forum 18-25 de JVC.ShekelsChaser a écrit :Merci d'apprendre le français et sa grammaire ou bien de rester sur des forums d'où vous venez.Enicay a écrit : Seul exception concernant les établissements de santé dont tout le personnel, même administratif, qui doit être vacciné.
Sans contact avec le public ni patient dans ce secteur et j'ai l'obligation vaccinale
Réponse postée 1 septembre 2021 12:02
C'est tout à fait, mais ces expériences peuvent se faire en statut freelance aussi. On a même, je pense, plus d'opportunités d'essayer des choses différentes, qu'on a envie de faire, par rapport à un CDI en SSII où il n'est pas toujours facile de refuser ce que la hiérarchie nous a dégoté, même si on n'en a pas envie. Le risque me paraît plus grand de faire toujours la même chose en SSII (après, comme dit précédemment, je n'ai pas passé beaucoup de temps en SSII ^^').Gazole a écrit :
Par contre, amha, il faut multiplier les expériences pour voir quels sont les différents types de projets, type de chefs de projet, types d'architecture, types de culture d'entreprise pour avoir un bagage d'expérience. Mais ça reste mon avis. On peut très bien être mature à 0 année d'expérience et boute-en-train à 20. On peut très bien être persuadé d'être mature à 3 ans d'expérience (j'ai déjà vu des personnes vouloir passer freelances simplement... parce qu'ils avaient une dent contre leur ancien employeur) et avoir toutes les qualités nécessaires à 12 ans d'expérience (bagou, sens du commerce, expertise technique) mais vouloir se raccrocher à un sacro-saint CDI mal rémunéré...
Réponse postée 1 septembre 2021 08:26
Je n'ai fait que 18 mois en CDI avant de passer freelance. Alors certes avec un profil différent (j'ai notamment un doctorat comme expérience en plus du CDI), et je ne connais pas le marché front, ni la région dans laquelle tu vis, mais si le marché existe pour les SSII, que les prestas des SSII ayant profil équivalent sont placés facilement, il n'y a pas de raison que le marché soit fermé pour les freelances.
Un petit test pourrait être de créer un compte sur des jobboards, genre Monster, en précisant que tu es freelance, et voir si ça mord.
Réponse postée 31 août 2021 13:23
Le client ne sait pas souvent pendant combien de temps il aura besoin de son presta. C'est souvent 6 mois renouvelables, en théorie pour maximum 3 ans.Francis_S a écrit : Alors pour les missions pour l'instant j'ai vu pas mal de missions freelance de 6 mois ce qui me parait assez court, mais c'est peut être parce que je sors de 2 ans à bosser sur le même projet ou alors c'est ce que j'ai vu n'est pas représentatif...
Dans les faits, il arrive que ça dépasse 3 ans, mais aussi que la mission soit coupée de manières abrupte pour diverses raisons. L'avantage quand la durée indiquée est courte, c'est que ça ne leur permet pas de sortir le classique: "Le TJM est un peu bas mais c'est une mission longue, vous êtes tranquille pour 3 ans".
Réponse postée 18 juin 2021 15:31
J'ai lancé les démarches 2 jours après mon licenciement (j'avais déjà prévu que ce CDI serait mon dernier, je ne m'étais juste pas attendu à ce qu'il soit aussi court ^^), et démarré ma première mission un peu moins d'un mois après.
Réponse postée 18 juin 2021 07:35
Réponse postée 14 juin 2021 16:01
+ 1Olivier_M a écrit : - Pouvoir développer des activités annexes en parallèle sans avoir à en référer à personne
J'ai oublié de le citer dans mon post. Mais il est très pertinent aussi.
Réponse postée 14 juin 2021 08:57
Concernant le travail en plus, c'est pas nécessairement très important, à moins que vous soyez assez suicidaire pour vous passer d'un comptable, c'est quand même lui qui fait le gros du boulot en plus. La labellisation des transactions peut se faire pépouze pendant une réunion à la c.. (chose qui ne manque pas quand on bosse avec des entreprises françaises).
Autre avantage, pas de hiérarchie, pas de N+1 . Quand je vois le niveau de nombre de managers chez mes clients, et sachant que c'est souvent pire en SSII, c'est vraiment quelque chose que je ne pourrai plus supporter. Et plus besoin non plus de se taper tous les trucs corporate nuls, qu'il faut s'infliger si on veut rentrer dans le moule.
En fait, moi, je prends les choses dans l'autre sens. Quel est l'intérêt de retourner en CDI:
_ En SSII, aucun: moins de choix de mission, moins de liberté de refuser une mission moisie, supporter un N+1. Pour compenser tout ça, il faudrait que je gagne plus que ce n'est le cas actuellement, ce qui est tout bonnement impossible.
_ Dans d'autres entreprises, s'il y a moyen d'accéder à des projets vraiment intéressants qui ne sont pas ou peu accessibles aux freelances, ça peut se discuter, il faut pondérer tous les éléments.