n.clement a écrit : Bonjour,
j'ai crée un fichier excel personalisé dans le cadre de calculer et suivre les entrées et sorties de la société .
je veux votre avis sur ce fichier qui est sous cette forme :
IN=Tjm*nombre de jour travaillé
Frais=Total des frais (resto,tel,transport...)
RSI=0,4*IN(Tjm*nombre de jour travaillé)
Salaires
Pourriez vous me dire si le resultat du devidendes est :
Devidende =IN-Frais -RSI -Salaires
Merci pour votre retour .
Sans rentrer dans beaucoup de détails:
Cotisations = %pourcentage * salaire (les charges sont calculés en fonction du salaire et pas du chiffre d'affaires)
Bénéfice = IN - (Frais + Cotisations + Salaire)
IS = Impôts sur les sociétés = Bénéfices * %pourcentage IS
Dividendes brutes = Bénéfice - IS
Après faudra aussi payer les charges sur dividendes pour arriver au dividendes net.
Je pense qu'on parle de SASU. J'essayais de répondre à la question ci-dessous:
j'au lu que les dividendes de SASU ne sont pas soumis aux cotisations sociales des salariés.
Si c'est correct, dans le cas ou je pourrais prendre tout en dividendes (et vivre sur mes reserves toute l'année 2017) est ce que ça serai une meilleure option que le portage ?
Hello Atlas, tu oublies dans ton calcul les 40% d'abattement sur les dividendes nets après CSG/CRDS.
A priori en SASU IS il faut tout se verser en dividendes car pas de charges sociales sur dividendes + 40 % abattement. alors qu'en versement de salaire, tu as 85% de charges.
Là ou en EURL IS il faut à priori tout se verser en salaires (car charges sociales sur dividendes et pas d'abattement, alors que le salaire n'est chargé qu'à 45 %).
c'est ce que j' avais retenu.
Bonjour,
Je répète que se verser tout en dividendes reste intéressant tant que le bénéfice est inférieur à 38k€. J'ai fait moi même plusieurs simulations.
Les 40% d'abattement sur l'IR dont tu parles viennent après:
15% de CSG ET 33% d'impôt sur les sociétés (sur la tranche supérieure)
Si tu fais 100k€ de CA et que tu te verses 100% en dividendes tu vas exploser ton IS et tu finiras par toucher moins que quelqu'un qui s'est versé une rémunération de 40k€. (En plus cette somme ne viendra même pas gonfler ta retraite contrairement au cas où tu l'auras versée en cotisations).
___________
En EURL IS http://freelance.atlaas.net
AEH69 a écrit :
cadre 17 OPTION(S) FISCALE(S):
j'ai coché Impôt sur les Sociétés (IS) X□ Réel simplifié
TVA: Réel simplifié
Est-ce que je dois aussi cocher l'un des cases ci-dessous , et laquelle le plus aventageux.
sachant mon activité consultant en informatique.
Bénéfices Non Commerciaux (BNC) □ Déclaration contrôlée Bénéfices Industiels et Commerciaux (BIC) □ Réel simplifié □ Réel normal
Je vous remeercie beaucoup
Bonjour AEH69,
D'abord, je pense que tu n'es pas obligé de cocher ces cases à la création de la société. Si tu comptes prendre un expert comptable ultérieurement, il s'en occupera. Si mes souvenirs sont bons, je n'avais rien coché dans dans la partie "13".
Pour infos:
BNC/BIC: Je pense que c'est spécifique à l'EI. ça ne devrait pas te concerner.
régime réel normal: généralement réservé aux société dont le CA est supérieur à 236k€ par an. ça m'étonnerait que tu sois dans ce cas. Sous ce régime, tu dois faire des déclarations aux impôts chaque mois.
régime simplifié: CA entre 32,9 k€ et 236k€. Déclaration chaque trimestre.
gch06 a écrit : Qui ici est réellement parvenu à imposer à une SSII son modèle de contrat pour une mission longue en régie ?
Imposer un modèle non, mais négocier les clauses oui.
Je regarde 5 choses en priorité dans un contrat:
- Le tarif/commission
- Le délai de paiement
- Le délai de préavis
- Les astreintes
- Les clauses de non concurrence
Sur les 5, je suis toujours arrive à négocier au moins une clause. Sauf mon tout premier contrat pour lequel j'ai signé les yeux fermés ...
Plus la SSII est petite, plus il y a de la marge pour négocier.
Membre-108880 a écrit : Merci à vous pour vos réponses.
C'est bien ce que je craignais...
Je suis vraiment déçu car le client final pouvait être un vrai tremplin mais c'est clairement impensable de signer dans ces conditions.
Je suis nouveau dans le métier et terrifié de voir ça. Enfin bref, heureusement que j'ai pu trouver de l'aide 😉
Encore merci
Bonjour,
Est-ce que tu as au moins essayé de négocier la modification de ces clauses? Beaucoup de personnes ne lisent pas les contrats en profondeur ce qui permet au SSII d'y mettre ce qui les arrange. Parfois elle sont prêtes à faire marche arrière dès qu'on leur fait la remarque.
gch06 a écrit :
Il y a quelques années de ça, la notion de tech lead, chef de projet technique ou architecte voulait encore dire quelque chose et pouvait encore se refléter dans les responsabilités allouées au sein de la mission et le TJM.
Aujourd'hui j'ai vraiment cette sensation que tout est taylorisé/tiré vers le bas, il n'y quasiment plus que des postes de développeur pour lesquels les clients (et les SSII) ne font plus la différence entre un ingé avec 2 ans d'expérience et un autre beaucoup plus expérimenté.
Je voulais juste savoir si d'autres personnes dans ma situation ont le même ressenti que moi ?
Bonjour gch06,
Je comprends exactement de quoi tu parles. Tu l'as dit, le maître mot est "taylorisation".
Pour avoir débuté dans une très grosse SSII (qui se fait présenter comme boite de consulting évidemment) j'ai pu constater que les grands groupes font rarement de gros développements. Il se contentent d'acheter des softs et les déployer.
Sur la plupart des projets où j'ai travaillé, il y avait 10 consultants fonctionnels pour 2 à 3 développeurs! Les consultants étaient chargés de réaliser les tests, la MOA et la config du soft.
Le travail des développeurs consistait à faire quelques ajustements ou "tweaks" par-ci par-là. Mettre en place les interfaces et surveiller la prod. Rien de bien compliqué. On ne recrutait que des juniors de préférence BAC+2 pour baisser les coûts un max.
Je pense que développements "lourds" qui demandent des architectes et une expertise pointue ne se sont réalisé que chez des startup ou des éditeurs de logiciels. Ces boites là visent plutôt à recruter en interne.
Je ne vois pas pourquoi le portage serait mieux qu'une SASU (ou EURL). Pour 1 an de travail avec le CA que tu vises la différence de rémunération compense largement le coût et l'effort fourni pour ouvrir puis fermer une société. Pour la SASU: environ 450€ pour créer la boite et 800€ pour la fermer. Y ajouter ~2000€ par an pour l'EC.
A comparer avec 15k€ à 20k€ de différence de revenu disponible entre portage et SASU.
Je me trompe quelque part?
j'au lu que les dividendes de SASU ne sont pas soumis aux cotisations sociales des salariés.
Les dividendes sont quand même soumises à la CSG à 15.5%
N'oublie pas que la tranche de bénéfice au delà de 38k€ est soumise à la tranche d'IS à 33.3%.
Dans le scenario ou tu te verses tout en dividendes ça fera 33.3% d'IS puis 15.5% de CSG puis l'IRPP sur cette tranche.
Je pense qu'il est plus judicieux d'équilibrer entre rémunération et dividendes de manière à ne pas dépasser 38k€ de bénéfice.
Je me suis posé la même question. Je pense qu'il y a un certain flou autour de ce sujet. Je suis locataire d'un deux pièces, dont une que j'ai aménagé comme bureau. Même si je ne l'utilise presque jamais, je travaille tout le temps dans mon salon.
Mon comptable a accepté de passer 25% (correspondant au % de la surface de la pièce aménagée) de mon loyer en charges. Y compris les factures de gaz et d'électricité et même la box internet. Je n'ai eu besoin d'aucun contrat, pas de bail mixte, rien de tout ca. Il m'a juste demandé de garder les factures. Je lui transmets chaque mois un fichier excel avec (loyer+charges) X prorata.
Quant à l'accord du proprio, je pense que t'en as pas besoin:
Domiciliation : les créateurs peuvent domicilier leur entreprise chez eux si aucune disposition contractuelle ou législative ne s'y oppose. (1) Ex : clause du bail excluant expressément la possibilité de domiciliation .
- S'ils ne disposent pas d'un établissement, c'est-à-dire s'ils exercent leur activité exclusivement à l'extérieur, ils peuvent déclarer leur adresse personnelle comme adresse de l'entreprise, même en présence d'une clause interdisant de domicilier son entreprise chez soi.
Ce que tu racontes me rappelle l'histoire d' une ex-collègue qui était dans un cas similaire.
Elle voulait changer de société de référencement (B à D) comme tu décris. La société B a bien évidemment menacé de la traîner devant la justice. Le bras de fer a duré des semaines. C'est une situation assez éprouvante psychologiquement.
Finalement, le client final est intervenu car l'activation de la clause de non concurrence implique la perte d'une ressource importante pour lui. La société B s'est donc rétractée.
Moralité: qu'en penses ton client de tout ça? Est-ce que c'est transparent pour lui? Est-ce qu'il préfère B ou D?
En général les SSII attaquent rarement leurs (ex-)employés car les chances de gagner sont faibles. Garder une bonne relation avec ton client est de loin plus important.
Non j'en ai pas ouvert finalement. J'ai décidé d'investir dans un autre projet.
Effectivement, il semble difficile de trouver des courtiers qui le commercialisent mais pas impossible.
Il n'y a peut être pas d'assurance vie pour les entreprises mais il existe quelque chose de très proche: le contrat de capitalisation.
J'en avais parlé avec un conseiller en gestion de patrimoine et il m'avait recommandé d'en souscrire:
Les contrats de capitalisation présentent des attraits financiers et fiscaux très proches de ceux de l'assurance-vie. À dire vrai, financièrement, ils sont même leur réplique exacte.
Ces contrats permettent d'épargner à long terme (8 ans et plus), de bénéficier d'une garantie totale du capital investi dans des fonds en euros et de rechercher de meilleures performances en investissant sur les marchés financiers. Quant à la fiscalité, elle s'avère tout aussi favorable. Les gains sont imposés seulement lorsque le souscripteur retire une partie de son épargne. Après 8 ans, ils sont exonérés à hauteur de 4600 € pour un célibataire (9200 € pour un couple imposé en commun) et taxés au-delà, au barème de l'impôt sur le revenu ou, sur option, à un taux forfaitaire de 7,5 %.
n.clement a écrit : Bonjour,
J'ai besoin de votre expertise svp car je ne comprend pas trop trop un truc
Si j'ai 450 euros/jours
que dois mettre comme salaire et mettre à coté pour (RSI tVA IS...)
Pour l'is comment ca marche ?
merci pour votre aide
cdlt
Je te donne un exemple. Je suppose que c'est 450€ HT.
Si tu factures 200j par an ça te fait un CA de 90k.
Supposons que 10k passent en frais.
Si tu te verses 3k de salaire mensuel (ça fait 36k annuel), tu dois approvisionner 35% à 60% de l'équivalent de cette somme pour les cotisations sociales (ça dépend du type de société que tu as choisi). Disons pour arrondir à peu près 14k.
Ton bénéfice annuel sera donc 90k - (10k+36k+14k) = 30k.
Tu paiera l'IS (de 15% et bientôt 18%) sur ces 30k.
Je souligne que c'est calcul très approximatif.
Le mieux serait que tu te renseignes auprès d'indep qui ont une expérience similaire. Si t'as sympathisé avec des commerciaux de SSII, ils pourront t'indiquer combien tu peux te vendre.
Si t'en connais pas, demande un chiffre qui te parait assez élevé et négocie ensuite. Sur Paris pour 5 ans d'XP je pense que tu peux demander 500€. N'oublies pas que les SSII peuvent prendre jusqu'à 20% de marge sur le TJM facturé au client.
-Le TJM à négocier est TTC ou HT?
Toujours HT
-Quel est le ratio entre TJM brut et net? par ex si j'ai un TJM de 500 euro combien je gagnerai en net 62+(après déduction d'impôt, part d'entreprise de portage ....)
Cela dépend de beaucoup de facteurs (type de société choisie, situation familiale, les frais engagés, etc). Une estimation assez louche serait 50% de ton TJM HT. Tu peux jeter un coup d'oeil sur mon site.
-Quel type d'entreprise à créer et qu'il le mieux adapté pour un Free?
Cela dépend aussi de beaucoup de choses. Les plus populaires sont l'EURL et la SASU.
Perso j'ai choisi l'EURL (à l'IS) et je l'ai conseillé à tous ceux qui m'ont posé la question. Primo parce qu'on paie en général moins de charges sociales. Deuzio on peut moduler la rémunération comme on veut.
Je me pose la même question que Laipso: pourquoi tu parles de portage?
doanduyhai a écrit : J'ai fermé mon activité EURL fin 2014.
Je me pose la question suivante:
si la société est fermée (je suppose que ça veut dire qu'elle n'existe plus et que vous avez fermé le compte bancaire notamment) est ce que l'URSAFF peut se retourner contre son ancien dirigeant pour payer une régularisation de cotisation de son propre compte deux ans après la clôture? Je pensais que l'EURL est une personne morale au patrimoine distinct.
fr82 a écrit :
En gros, existe-t-il un moyen de résider dans un pays étranger, et travailler pour la France sans rien avoir à faire avec le pays dans lequel on réside ?
Merci
Ceci concerne principalement les lois en vigueur dans ton pays de résidence et d’éventuelles conventions légales et fiscales signées avec la France.
Je rappelle ce sujet pour savoir si quelqu'un aurait la gentillesse de me partager le fichier de simulation de o2eurl discuté ici. Il date, je sais 🤣
Je cherche à m'informer au maximum et effectuer mes estimations sur l'opportunité de l'aventure freelance.
Je vous remercie d'avance
Bonjour,
Je te la passe en MP si tu veux.
Tu peux aussi jeter un coup d’œil sur mon site.
Quelques les techniques qui se sont revelés efficaces pour moi:
1. Le réseau
Je dresse une liste d'anciens collègues avec lesquelles j'ai gardé un bon contact (qui bossent dans le même domaine) et je les appelle pour "prendre un café". Pendant la conversation je mentionne que je suis en recherche de mission et ça arrive qu'ils me mettent en contact avec des chefs de projets et des commerciaux de SSII. En même temps j'essaie de récolter un maximum d'information sur l'état du marché, les tendances, les projets en cours ou en préparation etc.
2. Les réseaux sociaux
Je vois que tu mentionnes Facebook, google plus, twitter (à mon avis inutiles), mais pas Linkedin et Viadeo.
J'ai mon CV sur linkedin. Lorsque je suis en mode prospection que je le mets à jour une fois par semaine (même si c'est juste changer la police). Cela permet à mon profil de remonter en haut des recherches.
3. Les SSII:
Inévitables, un mal nécessaire. Je bombarde mon CV partout et réponds à toutes les offres. je n'hésite pas à demander un maximum de feedback au commerciaux (sur mon CV, ma présentation, les retours des clients sur mes entretiens etc), et aussi demander des informations sur les tendances du marché.
Si les infos tendent à montrer que le marché n'est pas bon, je commence à élargir mon champs de recherche sur des domaines annexes ou qui ont le vent en poupe.
Paul92 a écrit :
Malheureusement depuis la crise c'est de plus en plus le cas. J'ai pu tester la règle des 3 ans il n'y a pas si longtemps. Bref vous êtes à la merci de personnes que vous n'avez jamais vues de votre vie et qui ne connaissent rien à votre rôle chez eux (et s'en moquent d'ailleurs éperdument) 😕 .
@Paul92
C'est quoi la règle des trois ans?
Chez certains grands comptes, un externe (y compris freelance) ne peut pas rester plus de 3 ans chez le même client. Il se dit qu'une jurisprudence permettrais aux externes d'attaquer leur client en justice pour se faire embaucher en CDI s'ils dépassent 3 ans d'affilée en mission.
J'ai contacté l'une de mes connaissances qui est en interne au sein d'une entreprise et il se trouve que celui ci vient de démissionner. Il va être remplacé par un prestataire.
Lui et moi faisons le même métier.
Il va transmettre mon CV à son chef
Cette personne étant juste une connaissance et pas un ami, je me suis dit qu'il fallait peut être que je lui propose une rétribution financière si jamais il arrive à me décrocher un entretien et si je suis prise pour le poste en freelance.
Comment faîtes vous lorsqu'une de vos connaissances vous met en contact avec un client et que vous arrivez à contractualiser derrière. Est ce que vous lui donner une prime pour le remercier?
En général quand une connaissance me met en relation pour une mission (que ça concrétise ou pas) je l'invite à un bon repas en espérant qu'un jour l'occasion se présentera où je pourrais lui renvoyer l’ascenseur.
Je ne vois pas pourquoi tu lui verserais de l'argent sauf si la personne te le demande explicitement.
_________________
en EURL IS depuis Sep 2014
Assez d'accord avec Paul92.
J'ajouterais, qu'au delà de l'aspect purement pécunier, si tu penses long terme la principale raison qui pousserait un indépendant à se remettre en CDI est la perspective d'une vraie carrière dans un grand groupe.
Quand je me suis lancé en 2014, je m'étais donné 3 ans aussi. Je me rends compte aujourd'hui que je ne pourrais probablement jamais gagner autant d'argent en salarié, car en optimisant correctement (je sais qu'il y a des personnes qui sont contre) il n'y juste pas photo entre un indep et un employé. Je suis également assez serein sur le fait de pouvoir trouver des missions régulièrement (j'ai plus de 10 xp dans mon domaine).
Ceci dit, je suis quand même tenté de revenir en CDI.
Pourquoi? Parce qu'une fois on fait le tour techniquement, ça devient assez rébarbatif. C'est une impression partagé avec plusieurs amis/collèges indep avec qui je discute régulièrement. Le sentiment de n'être qu'un exécutant, le fait de subir des chefs de projets plus ou mois incompétent, passe de plus en plus mal avec les années. On a envie de donner plus de sens à sa carrière. Gravir les échelons ou essayer des postes totalement différents.
Mais là aussi il faut payer le prix: faire carrière souvent implique le fait de travailler plus dur, essayer de se faire visible, jouer la politique interne, etc.
Je pense effectivement que pour un freelance les status bateaux sont suffisants. Pour info, voici les clauses figurant sur les statuts de mon EURL IS (c'est le modèle de la startup iStatut, aujourd'hui liquidée)
Article 1 – FORME JURIDIQUE
Article 2 – OBJET DE LA SOCIETE
Article 3 - DÉNOMINATION
Article 4 - SIÈGE SOCIAL
Article 5 - DURÉE
Article 6 - EXERCICE SOCIAL
Article 7 – APPORTS
Article 8 - CAPITAL SOCIAL
Article 9 - DROITS, RESPONSABILITÉS ET OBLIGATIONS ATTACHÉS AUX PARTS SOCIALES.
Article 10 - AUGMENTATION ET RÉDUCTION DU CAPITAL AUTORISÉ
Article 11 - COMPTE COURANT DE L'ASSOCIÉ UNIQUE
Article 12 - PARTS SOCIALES
Article 13 – CESSION ET TRANSMISSION DES PARTS SOCIALES
Article 14 - GÉRANCE
Article 15 - POUVOIRS DE LA GÉRANCE
Article 16 - DURÉE DES FONCTIONS DE LA GÉRANCE
Article 17 - RÉMUNERATION DE LA GÉRANCE
Article 18 - CONVENTIONS ENTRE LA SOCIÉTÉ ET LA GÉRANCE OU UN ASSOCIÉ
Article 19 - RESPONSABILITÉ DE LA GÉRANCE
Article 20 – ADMISSION DE NOUVEAUX ASSOCIÉS
Article 21 - MODALITÉS
Article 22 - ASSEMBLÉES GENERALES
Article 23 - CONSULTATION ÉCRITE
Article 24 - PROCÈS-VERBAUX
Article 25 - INFORMATION DES ASSOCIÉS
Article 26 - COMMISSAIRES AUX COMPTES
Article 27 - COMPTES SOCIAUX
Article 28 - AFFECTATION ET RÉPARTITION DES BÉNÉFICES
Article 29 - CAPITAUX PROPRES INFÉRIEURS À LA MOITIÉ DU CAPITAL SOCIAL
Article 30 – TRANSFORMATION
Article 31 - DISSOLUTION
Article 32 – LIQUIDATION
Article 34 - PERSONNALITÉ MORALE - IMMATRICULATION AU REGISTRE DU COMMERCE
Article 35 - FRAIS